02.09.2013 par Zimmer
Election cantonale partielle d'Aubenton : l'UMP Yannick Noé en position favorable à l'issue du premier tour
Il affrontera, au second tour, Pierre-Louis Devoitinne, candidat indépendant et ancien adjoint au maire d'Any-Martin-Rieux, arrivé en deuxième position avec 183 voix et un score de 18,07 %.
Le maire (divers droite) de Saint-Clément, Mathieu Canon, arrivé troisième avec 170 voix et 16,78 % des suffrages exprimés, est éliminé, tout comme l'unique candidate de gauche, Ginette Devaux (Front de Gauche-PCF), qui, avec 143 voix et un score de 14,12 %, n'est arrivée qu'en cinquième et avant-dernière position.
Malgré la multiplicité des candidatures à droite, le FN, avec Claude Mouflard, fait plus que doubler, en pourcentage, son score de 2008 et progresse même légèrement en voix (passant de 150 à 161 voix), alors que le taux de participation est passé de 85,33 % à 42,64 % d'un scrutin à l'autre. Avec 15,89 % des suffrages exprimés, il se situe toutefois en-dessous des niveaux qu'il avait obtenus, dans le canton, aux élections présidentielle et législatives de 2012.
On peut noter que dès hier soir, Mathieu Canon appelait ses électeurs à reporter leurs suffrages sur Yannick Noé.
Premier tour (1er septembre 2013) :
Inscrits : 2 444
Votants : 1 042 (42,64 %)
Exprimés : 1 013
Yannick Noé (UMP) 291 (28,73 %)
Conseiller municipal d'Aubenton
Pierre-Louis Devoitinne (div.) 183 (18,07 %)
Mathieu Canon (div. d.) 170 (16,78 %)
Maire de Saint-Clément
Claude Mouflard (FN) 161 (15,89 %)
Ginette Devaux (FG-PCF) 143 (14,12 %)
Jean-Guy Renaud (div. d.) 65 (6,42 %)
Lire aussi : Election cantonale partielle d'Aubenton (Aisne) , Second tour de l'élection cantonale partielle d'Aubenton : Yannick Noé (UMP) est élu avec 24 voix d'avance sur Pierre-Louis Devoitinne (divers droite)
02.09.2013 par Zimmer
Premier tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande : la liste de Léon Devloies en tête
Avec 1 485 voix, elle a devancé de 86 voix celle conduite par Franck Gonsse, conseiller municipal sortant qui avait derrière lui la majorité des membres de l'équipe municipale précédemment constituée autour de Roger Gouvart, l'ancien maire décédé en juin. La liste de Jean-Marc Kson arrive en troisième position avec 1 042 voix, perdant un peu plus de 600 voix par rapport au premier tour de mars 2008 où seulement deux listes étaient en présence.
Hier soir, Jean-Marc Kson n'a pas fermé la porte à une alliance avec Léon Devloies en vue du second tour de dimanche prochain, alliance qui paraissait cependant "compliquée" selon ce dernier, du fait des divergences d'idées entre les deux hommes. A défaut d'accord, les trois listes devraient se maintenir au second tour.
Premier tour (1er septembre 2013) :
Inscrits : 6 244
Votants : 4 033 (64,59 %)
Exprimés : 3 926
L'Avenir nous rassemble (Devloies) 1 485 (37,82 %)
Union pour la défense des intérêts cappellois (Gonsse) 1 399 (35,63 %)
Mieux vivre dans ma ville (Kson) 1 042 (26,54 %)
Lire aussi : Election municipale partielle de Cappelle-la-Grande (Nord) , La liste conduite par Léon Devloies l'emporte au second tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande
31.08.2013 par Zimmer
Michel Fourré est élu maire de Sens après la démission de Daniel Paris
Etiqueté "divers gauche", élu en cinquième position sur la liste conduite par Daniel Paris lors des élections municipales de 2008, puis adjoint en charge de la lutte contre l'exclusion, des solidarités et du logement, Michel Fourré avait, avec d'autres élus refusant de voter le budget, quitté la majorité municipale à la fin de l'année 2012 et formé le groupe "Convergence sénonaise et citoyenne". Quelques mois plutôt, en juin 2012, il avait apporté son soutien au candidat du PS aux élections législatives dans la 3ème circonscription de l'Yonne, Nicolas Soret, tandis que Daniel Paris était le candidat du PRG. A Sens, le premier avait fait, au premier tour, un score de 26,62 % des suffrages exprimés, contre seulement 13,73 % pour le second.
Le nouveau maire, élu dès le premier tour avec 15 voix sur 29 bulletins exprimés, va dorénavant devoir constituer une équipe d'adjoints autour de lui et a fait part de son souhait de discuter avec des élus restés fidèles au maire démissionnaire.
Daniel Paris, qui a souhaité rester conseiller municipal, était absent de la séance. Alors conseiller régional de Bourgogne, il était devenu maire de Sens après les élections municipales de mars 2008 où la liste qu'il conduisait avait battu, au second tour, celle de la sortante UMP Marie-Louise Fort, victorieuse dès le premier tour du communiste Jean Cordillot sept ans auparavant et réélue députée en juin 2012, et cela malgré l'absence d'un accord de fusion avec le PS qui avait toutefois retiré sa liste du premier tour.
Les élections municipales de 2014 devraient s'annoncer encore assez disputées dans la deuxième ville du département de l'Yonne qui compte aujourd'hui 24 883 habitants.
30.08.2013 par Zimmer
Election municipale partielle de Cappelle-la-Grande (Nord)
Suite au décès de son maire, Roger Gouvart, survenu le 20 juin dernier, le premier tour d'une élection municipale partielle aura lieu dimanche 1er septembre (avec un second tour éventuel le 8 septembre) à Cappelle-la-Grande, commune qui compte 8 173 habitants et qui est membre de la Communauté urbaine de Dunkerque.
La liste conduite par Roger Gouvart, qui avait obtenu 24 des 29 sièges de conseillers municipaux à pourvoir lors des élections municipales de mars 2008, est en effet aujourd'hui épuisée, or le Code général des collectivités territoriales prévoit que le conseil municipal doit être complet pour l'élection d'un nouveau maire. Comme il y a cinq ans et demi, il y aura 29 conseillers municipaux à élire.
Membre du PCF, Roger Gouvart était maire de Cappelle-la-Grande depuis 1983.
Les résultats du scrutin de mars 2008 avaient été les suivants.
Premier et unique tour :
Inscrits : 6 244
Votants : 4 798 (76,84 %)
Exprimés : 4 628
PCF-PS (Gouvart) 2 981 (64,41 %) 24 sièges
Divers (Kson) 1 647 (35,58 %) 5 sièges
Lors des élections nationales, la commune vote également assez majoritairement à gauche, ce qu'avaient encore confirmé les élections présidentielle et législatives de 2012 dont on peut aussi rappeler les résultats.
22 avril 2012 (premier tour de l'élection présidentielle) :
Inscrits : 6 324
Votants : 5 212 (82,41 %)
Exprimés : 5 086
Hollande 1 611 (31,67 %)
Le Pen 1 485 (29,19 %)
Sarkozy 769 (15,11 %)
Mélenchon 694 (13,64 %)
Bayrou 232 (4,56 %)
Dupont-Aignan 90 (1,76 %)
Poutou 79 (1,55 %)
Arthaud 67 (1,31 %)
Joly 45 (0,88 %)
Cheminade 14 (0,27 %)
6 mai 2012 (second tour de l'élection présidentielle) :
Inscrits : 6 329
Votants : 5 234 (82,69 %)
Exprimés : 4 749
Hollande 2 977 (62,68 %)
Sarkozy 1 772 (37,31 %)
10 juin 2012 (premier tour des élections législatives) :
Inscrits : 6 329
Votants : 3 709 (58,60 %)
Exprimés : 3 589
Hutin (MRC) 1 808 (50,37 %)
Eymery (RBM-FN) 892 (24,85 %)
Rosseel (UMP) 439 (12,23 %)
Thiebaut (FG-PCF) 160 (4,45 %)
Lefèvre (EELV) 64 (1,78 %)
Wailly (LO) 55 (1,53 %)
Deswarte (NPA) 51 (1,42 %)
Hernoult (Le Trèfle) 38 (1,05 %)
Yana (CPF) 30 (0,83 %)
Bresse (AEI) 17 (0,47 %)
Bignardi (Les Alternatifs) 13 (0,36 %)
Serbout (PAS) 13 (0,36 %)
Bak (SP) 9 (0,25 %)
17 juin 2012 (second tour des élections législatives) :
Inscrits : 6 329
Votants : 3 623 (57,24 %)
Exprimés : 3 447
Hutin (MRC) 2 215 (64,25 %)
Eymery (RBM-FN) 1 232 (35,74 %)
Trois listes s'affronteront à l'occasion du premier tour de cette élection municipale partielle, où l'équipe municipale sortante part divisée, après que la première adjointe, Anne-Marie Deneckère, qui avait assuré l'intérim pendant la maladie puis après le décès de Roger Gouvart, ait renoncé, pour des raisons personnelles, à conduire une liste.
Cette dernière sera malgré tout candidate sur la liste menée par Franck Gonsse, conseiller municipal sortant et responsable de la Chambre Syndicale des Ouvriers du Port Mensuels et Intermittents (CSOPMI) de Dunkerque (il est également, au plan national, secrétaire général de la CNTPA, Coordination Nationale des Travailleurs Portuaires et Assimilés), qui souhaite s'inscrire à la fois dans la continuité de l'action du maire décédé et dans la modernité. La majorité des membres de l'équipe sortante ainsi que Guy Gouvart, l'un des fils de Roger Gouvart, figurent sur cette liste, intitulée "Union de défense des intérêts cappellois", qui a par ailleurs le soutien du député (MRC) de la circonscription, Christian Hutin, et de celui (apparenté UMP) de la circonscription voisine, Jean-Pierre Decool.
L'autre liste issue de la majorité municipale sortante, qui affiche aussi sa "volonté de poursuivre l'oeuvre de Roger Gouvart", est conduite par le deuxième adjoint, Léon Devloies. Intitulée "L'Avenir nous rassemble", elle est soutenue par le PS, avec la présence de Julien Gokel, secrétaire de sa section locale, et comprend aussi des membres du PCF, dont Stéphane Gouvart, conseiller municipal sortant et petit-fils du maire décédé.
Enfin, comme en 2008, Jean-Marc Kson, lui aussi conseiller municipal sortant, conduit la liste "Mieux vivre dans ma ville". Celle-ci, qui comprend, selon son chef de file, des "Cappellois et Cappelloises de toutes tendances (gauche, centre, droite) sauf les extrêmes", se situe dans l'opposition à l'équipe municipale actuellement en place.
Lire aussi : Premier tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande : la liste de Léon Devloies en tête , La liste conduite par Léon Devloies l'emporte au second tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande
27.08.2013 par Zimmer
Disparition de Pierre Micaux, ancien député de l'Aube
L'ancien député de l'Aube, Pierre Micaux, est décédé le 17 août à l'âge de 82 ans.
Maire de Vendeuvre-sur-Barse à partir de 1965 et conseiller général de ce canton en 1970, il s'était fait élire, lors des élections législatives de mars 1978 et sous l'étiquette UDF, député de la 1ère circonscription de l'Aube (Troyes-I, Bar-sur-Aube) en battant le sortant socialiste André Gravelle.
Constamment réélu à l'Assemblée nationale à partir de cette date, il ne s'était pas représenté aux élections législatives de juin 2007 où son suppléant, Nicolas Dhuicq, lui avait succédé.
Pierre Micaux était également resté conseiller général jusqu'en 1994 et maire jusqu'en 1995. Il avait cédé sa place au "divers droite" Claude Ruelle, qui détient toujours ces deux mandats à l'heure actuelle. Il avait rejoint l'UMP en 2002.
26.08.2013 par Zimmer
Décès de Jean-Pierre Destrade, ancien député des Pyrénées-Atlantiques
Jean-Pierre Destrade, qui avait été député des Pyrénées-Atlantiques et porte-parole du PS dans les années 80, est décédé le 7 août à l'âge de 71 ans.
Conseiller général du canton de Biarritz-Est à partir de 1976, il s'était fait élire député de la 4ème circonscription des Pyrénées-Atlantiques (Bayonne) en juin 1981, face au sortant RPR Bernard Marie, qu'il avait affronté quatre ans plus tôt, sans succès, aux élections municipales à Biarritz.
Battu aux élections cantonales de 1982 et à nouveau mis en échec, à Biarritz, aux élections municipales de 1983, il était devenu porte-parole du PS en 1984, après en avoir intégré la direction nationale en 1979, et avait exercé cette fonction jusqu'en 1986, année de sa réélection comme député sur la liste conduite par André Labarrère.
Candidat dans la nouvelle 5ème circonscrition des Pyrénées-Atlantiques (Anglet, Bayonne) lors des élections législatives de juin 1988, il avait cependant été battu par le giscardien Alain Lamassoure, lui aussi député sortant. A l'occasion des élections cantonales qui avaient eu lieu quelques semaines plus tard, il avait effectué son retour au conseil général du département en se faisant élire conseiller général du canton de Saint-Pierre-d'Irube.
A partir des années 90, Jean-Pierre Destrade avait été soupçonné d'avoir mis en place, au cours de la décennie précédente, un réseau de financement occulte du PS, ce qui avait débouché, en avril 2005, sur sa condamnation, par le tribunal correctionnel de Pau, à trois ans de prison dont deux avec sursis (peine couverte par sa détention provisoire) et 10 000 euros d'amende pour escroquerie, recel d'abus de biens sociaux, trafic d'influence, faux et dénonciation de délit imaginaire. Exclu du PS après cette condamnation mais resté éligible, il avait continué à exercer son mandat de conseiller général jusqu'aux élections cantonales de mars 2008 où il ne s'était pas représenté.
Enfin, en 2011, il avait annoncé sa candidature aux élections sénatoriales avant d'y renoncer pour des raisons de santé.
25.08.2013 par Zimmer
Mort de René Marquès, ancien sénateur et ancien président du conseil général des Pyrénées-Orientales
René Marquès, ancienne figure politique des Pyrénées-Orientales, est décédé le 1er août à l'âge de 90 ans.
Il avait obtenu son premier mandat électoral lors des élections cantonales de septembre 1973, en se faisant élire conseiller général (sans étiquette) du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque contre le sortant "divers gauche" Amédée Cadène.
Devenu adhérent direct de l'UDF dans les années 80, ayant exercé le mandat de maire de Saint-Laurent-de-la Salanque à partir de 1983, il avait accédé à la présidence du conseil général des Pyrénées-Orientales en février 1988, après le décès de Guy Malé dont il était le premier vice-président. Il s'était ensuite fait élire sénateur de ce département à l'occasion des élections sénatoriales de septembre 1992 et avait siégé au sein du groupe de l'Union centriste au Sénat.
Au lendemain des élections cantonales de mars 1998 qui avaient vu le conseil général rebasculer à gauche, il avait dû en céder la présidence au socialiste Christian Bourquin.
En 2001, René Marquès ne s'était pas représenté aux élections municipales puis aux élections sénatoriales, après respectivement dix-huit ans de mandat de maire et neuf ans de mandat de sénateur. Enfin, en mars 2004, il avait quitté définitivement la vie politique en ne se représentant pas aux élections cantonales, après trente-et-un ans de mandat de conseiller général.
25.08.2013 par Zimmer
Disparition de Pierre Prouvost, ancien député-maire de Roubaix
L'ancien député-maire socialiste de Roubaix, Pierre Prouvost, est décédé le 23 juillet dernier à l'âge de 81 ans.
Elu municipal de Roubaix à partir de 1959, il s'était installé dans le fauteuil de maire de la ville à l'occasion des élections municipales de mars 1977, prenant alors la suite de Victor Provo dont il était le premier adjoint depuis 1971. Lors de ce scrutin où la vieille alliance entre socialistes et centristes avait cédé la place à l'Union de la gauche, la liste qu'il conduisait l'avait emporté face à celle emmenée par André Diligent, lui-même adjoint du maire sortant pendant un certain nombre d'années.
Lors des élections législatives de mars 1978, il s'était fait élire député de la 7ème circonscription du Nord (Roubaix-Est, Lannoy) en remplacement du socialiste André Desmulliez qui ne se représentait pas. Facilement réélu député à l'occasion de la vague rose de juin 1981, il avait dû cependant abandonner son mandat de maire à l'issue du premier tour des élections municipales de mars 1983 qui avait vu cette fois la victoire d'André Diligent. Il avait siégé à l'Assemblée nationale jusqu'en mars 1986.
Pierre Prouvost avait également été conseiller général du canton de Roubaix-Est.
24.08.2013 par Zimmer
Décès de Jean-Paul Mourot, ancien secrétaire d'Etat
Jean-Paul Mourot, qui avait été secrétaire d'Etat sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, est décédé le 23 juillet dernier à l'âge de 71 ans.
Elu en juin 1968, à l'âge de 26 ans et sous l'étiquette UDR, député de la 3ème circonscription de l'Indre (Le Blanc, Valençay), il avait alors ravi son siège au sortant CNIP Jean Bénard-Mousseaux, qui deviendra ensuite sénateur. Réélu député en mars 1973 et en mars 1978, il avait été nommé, en septembre de la même année, secrétaire d'Etat à la Justice dans le gouvernement Barre, fonction qu'il avait exercée jusqu'en mai 1981. Lors des élections législatives de juin 1981, il avait été battu par le socialiste Amédée Renault.
Jean-Paul Mourot avait également été maire du Blanc de 1971 à 1977 puis maire de Saint-Gaultier dans la seconde moitié des années 90. Il avait aussi été conseiller général du canton de Tournon-Saint-Martin pendant plusieurs années.
24.08.2013 par Zimmer
Disparition de Jean-Paul Hugot, ancien sénateur-maire de Saumur
L'ancien sénateur-maire de Saumur, Jean-Paul Hugot, est décédé le 14 juillet dernier à l'âge de 65 ans.
Maire (RPR) de Saumur à partir de 1983, il avait été élu sénateur du Maine-et-Loire en septembre 1992.
Lors du premier tour des élections municipales de mars 2001 et après dix-huit ans de mandat, la liste qu'il conduisait avait été assez largement battue par celle de la Gauche plurielle emmenée par Jean-Michel Marchand, alors député et membre des Verts (45,31 % contre 54,69 % des suffrages exprimés). Il n'avait pas sollicité un nouveau mandat de sénateur à l'occasion des élections sénatoriales qui avaient eu lieu en septembre de la même année.
En juin 2002, il avait été candidat dissident du RPR, aux élections législatives, dans la 4ème circonscription du Maine-et-Loire (Saumur-Sud, Thouarcé) mais, avec 20,94 % des suffrages exprimés, il n'était arrivé qu'en troisième position, au premier tour, derrière Jean-Michel Marchand (29,79 %) et l'UDF, investi par l'Union pour la Majorité Présidentielle, Michel Piron (29,00 %). Son retrait, entre les deux tours, avait ensuite favorisé l'élection de ce dernier.
Enfin, il s'était encore présenté sans succès, aux élections cantonales de mars 2004, dans le canton de Saumur-Sud dont il avait déjà été l'élu de 1985 à 1988. Au second tour de ce scrutin, il avait fait un score de 44,65 % des suffrages exprimés face au "divers gauche" Jackie Goulet qui l'avait emporté (55,35 %).
Jean-Paul Hugot avait également été député européen (d'octobre 1988 à juin 1989) et conseiller régional des Pays de la Loire.

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