Philippe Le Ray (Divers droite) a démissionné du Conseil général du Morbihan le 6 janvier 2014. Elu en 2008, il démissionne ainsi un an avant le prochain renouvellement prévu en 2015.

Cette démission est motivée par son élection à la présidence de la Communauté de communes « Auray Quiberon Terre Atlantique » en tout début d’année alors qu’il est par ailleurs député de la deuxième circonscription du Morbihan depuis 2012 et élu au conseil municipal de Plumergat depuis 1995.

Au sein de l’Assemblée départementale, c’est Marie-Jo Le Breton, sa suppléante élue en 2008 et ancienne conseillère municipale d’Auray, qui prend sa succession.

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Guy Vaxelaire, membre du Parti socialiste a annoncé fin janvier qu'il démissionnerait du Conseil général des Vosges à compter du 1er février 2014.

Elu pour la première fois au sein de l'institution départementale en 1979 dans le canton de Saulxures-sur-Moselotte, il perd son siège lors du renouvellement de 1985 avant de le reprendre lors des élections cantonales de 1992, à chaque fois face au RPR Gérard Braun. Il est ensuite réélu sans discontinuer en 1992, 1998, 2004 et 2011.

Il est par ailleurs maire de La Bresse, commune d’un peu moins de 4 500 habitants depuis 1977 et briguera un septième mandat lors des élections municipales de 2014.

Guy Vaxelaire a également été à de multiples reprises candidat à un mandat de député (1988, 1993, 1997 et 2002) ou de sénateur (1995 et 2004) sans jamais parvenir à être élu.

C’est sa suppléante, Elise Calais, qui siègera désormais au sein de l’Assemblée départementale.

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puceLettre de mission de Jean-Marc Ayrault à Thomas Thévenoud (taille : 0,20 Mo)

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Le Conseil général de l’Essonne s’est réuni en séance publique le 27 janvier dernier. A cette occasion, Michel Berson, ancien président de l’Institution départementale a fait part de sa décision d’abandonner son mandat de conseiller général.

Elu pour la première fois au sein de l’Assemblée départementale en 1994 dans le canton d’Yerres, il est réélu à deux reprises en 2001 puis 2008 dans le canton d’Evry-Nord. D’abord dans l’opposition, il devient Président du Conseil général en 1998 lors de son basculement à gauche. Il conserve ce siège jusqu’au renouvellement de 2011 où il cède sa place à Jérôme Guedj.

En conséquence, c’est sa suppléante Fatoumata Koïta, conseillère municipale d’Evry, qui siègera au sein du Conseil général.

Michel Berson conserve par ailleurs son mandat de sénateur remporté en 2011 après avoir présenté une liste dissidente dans le département et réuni 19,58% des suffrages exprimés.

Pour rappel, il fut également maire de Crosne de 1977 à 1998 et député de l’Essonne de 1981 à 1997, date à laquelle il s’incline de moins de 100 voix face à Nicolas Dupont-Aignan.

Jean-René Lecerf, candidat de l’UMP et de l’UDI lors de la prochaine élection municipale à Lille vient de démissionner du Conseil général du Nord. Elu dans le canton de Marcq-en-Barœul, il siégeait au sein de l’institution depuis 1988. Entre 1992 et 1998, alors que l’assemblée départementale était passée majoritairement à droite, il avait occupé le siège de Premier vice-président. La gauche redevenue majoritaire, il avait ensuite pris la tête de l’opposition durant 15 ans.

Cette démission est effective depuis le 31 décembre 2013. C’est Isabelle Frémaux (UMP), élue comme remplaçante à ses côtés lors du dernier renouvellement en 2008 qui prend sa succession. Cette dernière est également son assistante parlementaire au Sénat depuis 2001.

Concernant le groupe UPN (Union pour le Nord), c’est Christian Poiret (DVD) qui remplace Jean-René Lecerf. Maire de Lauwin-Planque depuis 1995, il est élu du canton de Douai-Sud-Ouest depuis 2001.

Pour rappel, Jean-René Lecerf est aussi sénateur du Nord depuis 2001. Il a, par ailleurs, été maire de Marcq-en-Barœul entre 1994 et 2001 après le décès de Serge Charles avant de démissionner afin de se mettre en conformité avec les nouvelles dispositions concernant le non-cumul des mandats.

Lors d’un discours tenu le 27 décembre dernier, Louis-Constant Fleming (UMP) faisait part de sa décision de démissionner de son siège de sénateur de Saint-Martin. Elu à cette fonction en 2008 avec 70,83% des suffrages exprimés au premier tour, il fut le premier sénateur de la jeune Collectivité d’Outre-Mer. Cette décision est motivée pour raisons de santé, mais les résultats des dernières élections territoriales semblent également avoir pesé.

Figure locale, il a activement participé à la vie politique de l’île. A différentes reprises élu au conseil municipal de Saint-Martin, il a également été conseiller général de Guadeloupe (canton de Saint-Martin 1) de 1992 à 1998 et de 2004 à 2007, ainsi que conseiller régional de Guadeloupe de 1986 à 1992. En juillet 2007, après le changement de statut de l’île, la liste qu’il conduit remporte les premières élections territoriales de Saint-Martin. Il préside l’institution jusqu’en juillet 2008, date à laquelle il est déclaré inéligible pour une durée d’un an.

En 2002, à l’occasion des élections législatives, Louis-Constant Fleming s’était porté candidat dans la 4e circonscription de Guadeloupe. Réunissant 10,08% des suffrages exprimés, il n’était pas parvenu à franchir le cap du premier tour. Des irrégularités dans ses comptes de campagne l’avaient alors déjà rendu inéligible pour une durée d’un an.

Cette démission est effective depuis le 31 décembre 2013. La date du prochain scrutin étant prévue dans moins d’un an (septembre 2014), le code électoral ne prévoit pas la tenue d’une élection partielle et le siège restera vacant.

Marc Massion, sénateur PS de Seine-Maritime a démissionné de son siège au 31 décembre 2013. Il sera remplacé au Sénat par Didier Marie.

Marc Massion était devenu sénateur en juillet 1995 après le décès de Tony Larue. Il avait été réélu une première fois en septembre 1995 puis une seconde en septembre 2004, à chaque fois comme tête de liste du Parti socialiste. Il est, par ailleurs, maire du Grand-Quevilly depuis 2000 lorsqu’il succéda à Laurent Fabius, alors nommé au gouvernement. Il fut aussi conseiller général (canton de Grande-Couronne) de 1985 à 2000 et conseiller régional de 1986 à 1992.

Selon un communiqué, cette démission tend à mettre en pratique « dès maintenant la loi sur le non-cumul des mandats » qu’il a voté il y a plusieurs mois.

Après les précédents changements intervenus au sein du département (démission de Sandrine Hurel puis d’Alain Le Vern), c’est Didier Marie, cinquième sur la liste en 2004 qui hérite de ce siège de sénateur. Ancien député, comme suppléant de Laurent Fabius entre 2000 et 2002, et actuel président du Conseil général de Seine-Maritime, il fut aussi élu à la ville d’Elbeuf, d’abord comme conseiller municipal, puis comme maire entre 1997 et 2004.

Le conseiller général (Divers gauche) du canton de Campoloro-Moriani, Pierre-Louis Nicolaï, est décédé le 20 novembre 2013 à l'âge de 74 ans.

En 2007, il est candidat à l'élection cantonale partielle organisée après le décès de Claude Olivesi. Classé divers droite par le Ministère de l'Interieur, il s'impose au second tour avec 51,3% des suffrages exprimés face à Charles Colombani, membre de l'UMP. Candidat à sa propre succession lors du renouvellement de 2011, il est opposé en duel à Francis Croce, soutenu par Femu a Corsica et Europe écologie face à qui il s'impose avec 76,6% des suffrages exprimés.

Maire de Cervione durant deux mandats de 1995 à 2008, il occupait depuis cette date la fonction de 3e adjoint au maire et siègeait également au sein de la Communauté de communes de la Costa Verde.

A l'assemblée départementale, Pierre-Louis Nicolaï devrait être remplacé par Joséphine-Henriette Danti.
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Le conseiller général (divers droite) du canton de Saint-Amand-Montrond et maire d'Orval, Patrick Trompeau, est décédé hier 14 octobre à l'âge de 61 ans.

Maire d'Orval depuis 2001, il s'était fait élire conseiller général du canton de Saint-Amand-Montrond lors du second tour des élections cantonales de mars 2004, face au socialiste Yann Galut, après avoir devancé au premier tour le sortant UMP Yves Puret. Bénéficiant du soutien de l'UMP aux élections cantonales de mars 2011, il avait été réélu encore au second tour mais en améliorant nettement son score de 2004 (62,59 % des suffrages exprimés contre 52,61 % sept ans plus tôt).

Il avait également été candidat sans succès aux élections sénatoriales de septembre 2008 dans le Cher. Toujours avec l'étiquette "divers droite", il avait obtenu 62 voix et 7,24 % des suffrages exprimés au premier tour.

Patrick Trompeau devrait être remplacé comme conseiller général par sa suppléante, Annie Lallier, qui est aussi adjointe (UDI-Nouveau Centre) au maire de Saint-Amand-Montrond.
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Le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol a été élu sans surprise président du conseil régional de Haute-Normandie lundi 14 octobre.

Ayant obtenu 37 voix contre 13 à l'ancien ministre et président du groupe d'opposition de droite "Pour une Nouvelle Normandie" Bruno Le Maire (il y a également eu 5 abstentions), il succède à Alain Le Vern. Quand il avait annoncé sa démission le 12 septembre, ce dernier avait émis le souhait que celui qui était alors son huitième vice-président le remplace.

Conseiller régional depuis mars 2010 (élu sur la liste départementale de la Seine-Maritime), collaborateur de Laurent Fabius au ministère des Affaires étrangères, Nicolas Meyer-Rossignol devient, à 36 ans, le benjamin des présidents de conseil régional.

Lire aussi : Le sénateur et président du conseil régional de Haute-Normandie, Alain Le Vern, se retire de la vie politique
Le socialiste Philippe Pailla a été élu sans surprise maire de Charleville-Mézières, lundi 7 octobre, en remplacement de Claudine Ledoux, démissionnaire après avoir été nommée ambassadrice chargée de la coopération régionale dans l'océan Indien.

Premier adjoint de Claudine Ledoux depuis qu'elle était devenue maire du chef-lieu du département des Ardennes, à l'occasion des élections municipales de mars 2001, Philippe Pailla a également été conseiller général du canton de Charleville-La Houillère de 1994 à 2001. Battu par l'ancien député Philippe Mathot, alors candidat "divers droite", aux élections cantonales de mars 2001 (qui eurent lieu en même temps que les municipales), il n'est pas parvenu à reconquérir ce siège en mars 2008 face à l'UMP Boris Ravignon. Ce dernier devrait être son principal adversaire lors des prochaines élections municipales.

Claudine Ledoux, qui a aussi été députée des Ardennes de 1997 à 2002, reste conseillère municipale de Charleville-Mézières. Egalement démissionnaire d'une des vice-présidences du conseil régional de Champagne-Ardenne qu'elle occupait jusqu'ici, elle conserve son mandat à l'assemblée régionale où elle siège depuis mars 2004.

Dans les prochains jours, Philippe Pailla devrait encore succéder à Claudine Ledoux à la présidence de la Communauté d'agglomération de Charleville-Mézières "Coeur d'Ardenne".

Charleville-Mézières, dont le maintien dans le giron du PS en mars prochain s'avère plutôt incertain, compte aujourd'hui 49 810 habitants.
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