04.11.2013 par Zimmer
Disparition de Théo Vial-Massat, ancien député-maire de Firminy
L'ancien député-maire de Firminy, Théo Vial-Massat, est décédé le 30 octobre à l'âge de 94 ans.
Résistant au sein des FTP durant la Seconde Guerre mondiale, il avait adhéré au PCF à la Libération et était devenu membre du comité central de ce parti en 1950.
Il s'était fait élire une première fois député de la 4ème circonscription de la Loire (Firminy), lors du second tour des élections législatives de novembre 1962 et en triangulaire, face au sortant centriste Eugène Claudius-Petit. L'ancien ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme de la IVème République avait cependant reconquis ce siège en mars 1967, avant de se faire élire député de Paris en mars 1973, et Théo Val-Massat avait repris la circonscription en mars 1978. Réélu en juin 1981, il avait siégé à l'Assemblée nationale jusqu'aux élections législatives de mars 1986, puis de nouveau, avec le retour du scrutin majoritaire, de juin 1988 à mars 1993. Il ne s'était pas représenté lors de ce dernier scrutin où l'ancien ministre communiste Charles Fiterman, ancien député du Val-de-Marne puis du Rhône et natif de Saint-Etienne, avait tenté sans succès de lui succéder.
Théo Vial-Massat avait aussi été élu maire de Firminy en mars 1971 (également en battant Eugène Claudius-Petit, alors maire sortant) et l'était resté jusqu'en avril 1992, date à laquelle il avait cédé son fauteuil à son premier adjoint, Bernard Outin. Il avait encore été conseiller général de la Loire de 1970 à 1988 et conseiller régional de Rhône-Alpes.
Résistant au sein des FTP durant la Seconde Guerre mondiale, il avait adhéré au PCF à la Libération et était devenu membre du comité central de ce parti en 1950.
Il s'était fait élire une première fois député de la 4ème circonscription de la Loire (Firminy), lors du second tour des élections législatives de novembre 1962 et en triangulaire, face au sortant centriste Eugène Claudius-Petit. L'ancien ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme de la IVème République avait cependant reconquis ce siège en mars 1967, avant de se faire élire député de Paris en mars 1973, et Théo Val-Massat avait repris la circonscription en mars 1978. Réélu en juin 1981, il avait siégé à l'Assemblée nationale jusqu'aux élections législatives de mars 1986, puis de nouveau, avec le retour du scrutin majoritaire, de juin 1988 à mars 1993. Il ne s'était pas représenté lors de ce dernier scrutin où l'ancien ministre communiste Charles Fiterman, ancien député du Val-de-Marne puis du Rhône et natif de Saint-Etienne, avait tenté sans succès de lui succéder.
Théo Vial-Massat avait aussi été élu maire de Firminy en mars 1971 (également en battant Eugène Claudius-Petit, alors maire sortant) et l'était resté jusqu'en avril 1992, date à laquelle il avait cédé son fauteuil à son premier adjoint, Bernard Outin. Il avait encore été conseiller général de la Loire de 1970 à 1988 et conseiller régional de Rhône-Alpes.
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16.10.2013 par Zimmer
Disparition de Roger Léron, ancien député de la Drôme
On a appris aujourd'hui le décès à l'âge de 68 ans de Roger Léron, qui avait été notamment député de la Drôme et président du groupe socialiste au conseil régional de Rhône-Alpes.
Membre du CERES, il était devenu premier adjoint de Rodolphe Pesce à la mairie de Valence à la suite des élections municipales de mars 1977 qui avaient vu le basculement à gauche du chef-lieu du département de la Drôme. Désigné conseiller régional de Rhône-Alpes la même année (puis élu à partir de 1986), il s'était fait élire député de la 1ère circonscription de la Drôme (Valence) en juin 1988 mais avait dû céder ce siège à Patrick Labaune, alors étiqueté RPR, lors de la vague bleue de mars 1993.
Président du groupe socialiste au conseil régional de Rhône-Alpes de 1992 à 1998, Roger Léron avait abandonné son mandat de conseiller régional en 2000 pour devenir président de l'ACNUSA (Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires), autorité administrative indépendante nouvellement créée par le gouvernement Jospin, et avait exercé cette fonction jusqu'en 2006. Depuis octobre 2012, il était président du RARE (Réseau des agences régionales de l’énergie et de l'environnement).
Membre du CERES, il était devenu premier adjoint de Rodolphe Pesce à la mairie de Valence à la suite des élections municipales de mars 1977 qui avaient vu le basculement à gauche du chef-lieu du département de la Drôme. Désigné conseiller régional de Rhône-Alpes la même année (puis élu à partir de 1986), il s'était fait élire député de la 1ère circonscription de la Drôme (Valence) en juin 1988 mais avait dû céder ce siège à Patrick Labaune, alors étiqueté RPR, lors de la vague bleue de mars 1993.
Président du groupe socialiste au conseil régional de Rhône-Alpes de 1992 à 1998, Roger Léron avait abandonné son mandat de conseiller régional en 2000 pour devenir président de l'ACNUSA (Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires), autorité administrative indépendante nouvellement créée par le gouvernement Jospin, et avait exercé cette fonction jusqu'en 2006. Depuis octobre 2012, il était président du RARE (Réseau des agences régionales de l’énergie et de l'environnement).
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