09.09.2013 par Zimmer
La liste conduite par Léon Devloies l'emporte au second tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande
Les trois listes présentes au premier tour s'étaient en effet maintenues et, avec 1 830 voix et 45,23 % des suffrages exprimés, celle du deuxième adjoint sortant a recueilli 345 voix supplémentaires d'un tour à l'autre, creusant ainsi l'écart avec l'autre liste de gauche menée par Franck Gonsse, qui n'a gagné que 37 voix, tandis que celle conduite par le conseiller municipal d'opposition, Jean-Marc Kson, a perdu 262 voix par rapport au dimanche 1er septembre. Hier soir, ce dernier admettait à demi-mot qu'il y avait eu un glissement d'une partie de ses électeurs du premier tour au profit de Léon Devloies : "J’avais passé la consigne de faire barrage à Gonsse. Je suis content que Léon passe. J’espérais un siège de plus, mais bon…"
84 électeurs supplémentaires se sont déplacés, ce dimanche, faisant passer la participation de 64,59 % à 65,78 %, le nombre de bulletins blancs ou nuls tombant, quant à lui, à 71 (contre 107 sept jours plus tôt).
A 79 ans, Léon Devloies va donc s'installer, dans les prochains jours, dans le fauteuil de maire. Le secrétaire de la section locale du PS, Julien Gokel, qui était présent sur sa liste, devrait devenir son premier adjoint. Le futur maire a d'ores-et-déjà annoncé qu'il serait à nouveau candidat en mars prochain. Il devrait alors retrouver face à lui ses deux concurrents. Dans une commune où le FN a obtenu près de 30 % des suffrages exprimés lors de la dernière élection présidentielle, la présence d'une liste soutenue par ce parti n'est pas non plus à exclure.
Second tour (8 septembre 2013) :
Inscrits : 6 259
Votants : 4 117 (65,78 %)
Exprimés : 4 046
L'Avenir nous rassemble (Devloies) 1 830 (45,23 %) 22 sièges
Union pour la défense des intérêts cappellois (Gonsse) 1 436 (35,49 %) 5 sièges
Mieux vivre dans ma ville (Kson) 780 (19,28 %) 2 sièges
Rappel des résultats du premier tour (1er septembre 2013) :
Inscrits : 6 244
Votants : 4 033 (64,59 %)
Exprimés : 3 926
L'Avenir nous rassemble (Devloies) 1 485 (37,82 %)
Union pour la défense des intérêts cappellois (Gonsse) 1 399 (35,63 %)
Mieux vivre dans ma ville (Kson) 1 042 (26,54 %)
Lire aussi : Premier tour de l'élection municipale partielle de Cappelle-la-Grande : la liste de Léon Devloies en tête , Election municipale partielle de Cappelle-la-Grande (Nord)
09.09.2013 par Zimmer
Second tour de l'élection cantonale partielle d'Aubenton : Yannick Noé (UMP) est élu avec 24 voix d'avance sur Pierre-Louis Devoitinne (divers droite)
Arrivé assez largement en tête le 1er septembre avec 291 voix et 28,73 % des suffrages exprimés, le conseiller municipal UMP d'Aubenton pouvait espérer recueillir une partie des 170 voix (16,78 %) obtenues par le maire (divers droite) de Saint-Clément, Mathieu Canon, arrivé troisième et éliminé, qui avait appelé ses électeurs à voter pour lui.
Avec 18 votants supplémentaires et un taux de participation légèrement en hausse d'un tour à l'autre (43,37 % contre 42,64 %), tandis que le nombre de bulletins blancs ou nuls est passé de 29 à 92, Yannick Noé a vu son nombre de voix progresser de 205 alors que Pierre-Louis Devoitinne a bénéficié de 289 suffrages en plus.
Malgré sa défaite, l'ancien adjoint au maire d'Any-Martin-Rieux s'est satisfait du résultat : "Ces 48,8 % de voix sonnent comme la victoire d'un homme sans soutien d'aucun parti, contre tous les états-majors politiques." Il a également laissé entendre qu'il pourrait être candidat aux élections départementales de 2015.
Second tour (8 septembre 2013) :
Inscrits : 2 444
Votants : 1 060 (43,37 %)
Exprimés : 968
Yannick Noé (UMP) 496 (51,24 %) Elu
Pierre-Louis Devoitinne (div. d.) 472 (48,76 %)
Rappel des résultats du premier tour (1er septembre 2013) :
Inscrits : 2 444
Votants : 1 042 (42,64 %)
Exprimés : 1 013
Yannick Noé (UMP) 291 (28,73 %)
Conseiller municipal d'Aubenton
Pierre-Louis Devoitinne (div. d.) 183 (18,07 %)
Mathieu Canon (div. d.) 170 (16,78 %)
Maire de Saint-Clément
Claude Mouflard (FN) 161 (15,89 %)
Ginette Devaux (FG-PCF) 143 (14,12 %)
Jean-Guy Renaud (div. d.) 65 (6,42 %)
Lire aussi : Election cantonale partielle d'Aubenton : l'UMP Yannick Noé en position favorable à l'issue du premier tour , Election cantonale partielle d'Aubenton (Aisne)
08.09.2013 par Zimmer
Election cantonale partielle de Brignoles (Var)
Pour la troisième fois depuis mars 2011, les électeurs du canton de Brignoles vont devoir se rendre aux urnes les 6 et 13 octobre prochains pour élire leur conseiller général. Le Conseil d'Etat a en effet confirmé, le 25 juillet dernier, l'annulation de l'élection cantonale partielle des 24 juin et 1er juillet 2012 prononcée par le tribunal administratif de Toulon en décembre 2012.
Le 1er juillet 2012, lors du second tour de ce scrutin lui-même consécutif à l'annulation de l'élection du frontiste Jean-Paul Dispard face au sortant communiste Claude Gilardo en mars 2011, le second avait pris sa revanche sur le premier en l'emportant avec une avance de 13 voix. Dans son jugement rendu en décembre 2012, le tribunal administratif de Toulon avait estimé que "le nombre de suffrages exprimés au second tour de l'élection contestée devant être regardés comme irréguliers (était) supérieur à la différence de voix entre les candidats lors de celui-ci".
Le canton de Brignoles compte 29 331 habitants et comprend 6 communes : Brignoles, Camps-la-Source, La Celle, Tourves, Le Val et Vins-sur-Caramy.
Les résultats précis de l’élection cantonale partielle du début de l’été 2012 et du scrutin de mars 2011 avaient été les suivants.
24 juin 2012 (premier tour) :
Inscrits : 20 881
Votants : 7 958 (38,11 %)
Exprimés : 7 825
Claude Gilardo (FG-PCF) 3 100 (39,61 %)
Maire de Brignoles
Jean-Paul Dispard (FN) 2 734 (34,93 %)
Conseiller général sortant
Annie Giusti (UMP) 1 991 (25,44 %)
Conseillère municipale de Brignoles
1er juillet 2012 (second tour) :
Inscrits : 20 886
Votants : 8 747 (41,87 %)
Exprimés : 8 373
Claude Gilardo (FG-PCF) 4 193 (50,07 %) Elu
Jean-Paul Dispard (FN) 4 180 (49,92 %)
20 mars 2011 (premier tour) :
Inscrits : 19 805
Votants : 8 544 (43,14 %)
Exprimés : 8 361
Jean-Paul Dispard (FN) 2 757 (32,97 %)
Claude Gilardo (FG-PCF) 2 636 (31,52 %)
Conseiller général sortant, maire de Brignoles
Jean-Michel Rousseaux (UMP) 1 981 (23,69 %)
Conseiller municipal de Brignoles
Magda Igyarto-Arnoult (EELV) 987 (11,80 %)
27 mars 2011 (second tour) :
Inscrits : 19 805
Votants : 9 557 (48,26 %)
Exprimés : 8 809
Jean-Paul Dispard (FN) 4 407 (50,02 %) Elu
Claude Gilardo (FG-PCF) 4 402 (49,97 %)
Compte tenu de la configuration politique dans le canton, il peut être également utile de se pencher sur les résultats des élections présidentielle et législatives de 2012.
22 avril 2012 (premier tour de l’élection présidentielle) :
Inscrits : 20 745
Votants : 16 681 (80,40 %)
Exprimés : 16 391
Sarkozy 4 764 (29,06 %)
Le Pen 4 647 (28,35 %)
Hollande 3 353 (20,45 %)
Mélenchon 1 789 (10,91 %)
Bayrou 1 033 (6,30 %)
Dupont-Aignan 277 (1,68 %)
Joly 269 (1,64 %)
Poutou 168 (1,02 %)
Arthaud 56 (0,34 %)
Cheminade 35 (0,21 %)
6 mai 2012 (second tour de l’élection présidentielle) :
Inscrits : 20 750
Votants : 16 713 (80,54 %)
Exprimés : 15719
Sarkozy 9 125 (58,05 %)
Hollande 6 594 (41,95 %)
10 juin 2012 (premier tour des élections législatives) :
Inscrits : 20 773
Votants : 11 949 (57,52 %)
Exprimés : 11 796
Pons (UMP) 3 797 (32,19 %)
De Pierrefeu (FN) 3 139 (26,61 %)
Van Hoorebeke (EELV) 2 368 (20,07 %)
Bleinc (div. g.) 904 (7,66 %)
Bolla (FG-PCF) 858 (7,27 %)
Bolla (NC) 420 (3,56 %)
Silvani (Le Trèfle) 154 (1,31 %)
Koscielski (AEI) 84 (0,71 %)
Pipino (NPA) 40 (0,34 %)
Coen (LO) 32 (0,27 %)
Wasser (RIC) 0 (0,00 %)
17 juin 2012 (second tour des élections législatives) :
Inscrits : 20 919
Votants : 10 367 (49,56 %)
Exprimés : 9 049
Pons (UMP) 5 383 (59,49 %)
De Pierrefeu (FN) 3 666 (40,51 %)
Pour le scrutin à venir, on sait d’ores-et-déjà que Claude Gilardo, élu conseiller général du canton pour la première fois en mars 1998 (il avait été réélu en mars 2004) et maire du chef-lieu depuis mars 2008, ne se représentera pas, tandis que Jean-Paul Dispard n’a pas obtenu l’investiture du FN qui lui a préféré Laurent Lopez, lequel conduira par ailleurs la liste frontiste à Brignoles lors des prochaines élections municipales.
Le PCF a choisi Laurent Carratala pour tenter de conserver le siège. Enseignant à Brignoles, celui-ci a déjà été candidat aux élections cantonales de 2011 dans le canton de Besse-sur-Issole et de 2008 dans celui de Cotignac. Cette désignation rapide a pris de court les autres partis de gauche et notamment le PS qui a fait part de son regret d’une absence de concertation pour s’accorder sur une candidature de rassemblement.
A droite, aucun candidat n’a encore été officiellement désigné, dans un contexte où l'on sait que celle-ci pourrait partir divisée aux prochaines élections municipales à Brignoles, la députée UMP Josette Pons ayant annoncé sa candidature en juin alors que Jean-Michel Rousseaux a également l’intention de conduire une liste pour l’UDI.
Comme on peut le voir, cette élection cantonale partielle, qui devrait être observée de près au niveau national (le canton de Brignoles avait été, avec celui de Carpentras-Nord, dans le Vaucluse, l’un des deux cantons conquis par le FN en 2011), constituera également un enjeu local important, de par sa proximité avec les échéances municipales de mars prochain, en particulier dans la sous-préfecture du Var.
Lire aussi : Second tour de l'élection cantonale partielle de Brignoles : le frontiste Laurent Lopez l'emporte avec 53,91 % des suffrages exprimés dans un contexte de hausse de la participation , Premier tour de l’élection cantonale partielle de Brignoles : Laurent Lopez (FN) largement en tête, la gauche éliminée , Six candidats au premier tour de l'élection cantonale partielle de Brignoles
08.09.2013 par Vincent
Il y a... 52 ans : L'attentat de Pont-sur-Seine
Le vendredi 8 septembre 1961, le Général de Gaulle, accompagné de son épouse et de son aide de camp le colonel Jean Teisseire, quitte l’Elysée afin de se rendre à Colombey-les-Deux-Eglises (Haute-Marne).
A la tombée de la nuit, le convoi automobile constitué de 4 DS est engagé sur la RN19 et traverse le département de l’Aube. A la sortie de la commune de Pont-sur-Seine et peu avant celle de Crancey une détonation retentit, une charge explosive dissimulée sous un tas de sable vient d’être déclenchée manuellement.
L’engin de conception artisanale, fortement altéré par l’humidité ambiante, ne remplit pas ses objectifs : les véhicules poursuivent leur route à travers les flammes et l’on ne compte ni victime ni blessé.
Il s’agit du premier attentat opéré contre le Président de la République depuis sa prise de fonction en 1958. Avec en toile de fond les dissensions liées à la situation algérienne.
Les auteurs présumés, se revendiquant de l’OAS, sont tous arrêtés. Défendus, entre autres par Jean-Louis Tixier-Vignancour, ils sont jugés et condamnés, l’année suivante à Troyes, à diverses peines d’emprisonnement.
07.09.2013 par Zimmer
Disparition de Dick Ukeiwé, ancienne figure politique de la Nouvelle-Calédonie
Dick Ukeiwé, qui avait été notamment sénateur (de 1983 à 1992), président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie (de 1984 à 1989) et député européen (de 1989 à 1994), est décédé le 3 septembre à l'âge de 84 ans.
Il avait commencé son parcours politique au sein de l'Union Calédonienne (UC) et s'était fait élire, en octobre 1957, à l'assemblée territoriale de la Nouvelle-Calédonie créée par la loi-cadre Defferre de 1956. Réélu en décembre 1958, il avait dû en démissionner en mai 1961 après avoir été frappé d'inéligibilité à la suite d'une condamnation.
Ayant ensuite rejoint l'Union Démocratique (UD), il avait retrouvé un siège à l'assemblée territoriale à l'occasion du renouvellement de septembre 1972. A partir de cette date, il avait exercé à plusieurs reprises les fonctions de président de la commission permanente et de président de l'assemblée territoriale. S'étant rapproché du Rassemblement Pour la Calédonie (RPC), parti créé par Jacques Lafleur en avril 1977 pour contrer la montée de la revendication indépendantiste, réélu à l'assemblée territoriale et de nouveau porté à la présidence de celle-ci en septembre de la même année, il avait été candidat aux élections législatives de mars 1978 dans la nouvelle 1ère circonscription du territoire d'outre-mer (Côte est, Loyauté) face au sortant UC Roch Pidjot mais n'était pas parvenu à le battre au second tour.
Cofondateur en juillet 1978, avec le même Jacques Lafleur, du RPCR, allié au RPR au niveau national, Dick Ukeiwé était devenu vice-président (et, de fait, le numéro un politique) du conseil de gouvernement de la Nouvelle-Calédonie au lendemain des élections territoriales de juillet 1979 qui avaient vu la victoire des anti-indépendantistes. Il avait cependant dû quitter cette fonction en juin 1982 après la défection de la Fédération pour une Nouvelle Société Calédonienne (FNSC), organisation politique proche de l'UDF sur le plan national. Candidat du RPCR aux élections sénatoriales de septembre 1983, il avait pu prendre sa revanche sur la FNSC en battant, dès le premier tour, son représentant, le sortant Lionel Cherrier, qui était par ailleurs soutenu par l'UC.
En 1984, la Nouvelle-Calédonie avait été dotée d'un nouveau statut visant à lui donner une large autonomie, statut qui avait cependant été rejeté par le camp anti-indépendantiste tout comme par celui des indépendantistes. A l'occasion des élections territoriales de novembre 1984 qui avaient suivi la mise en place de ce statut et qui avaient été boycottées par le FLNKS nouvellement créé (ce qui avait marqué le déclenchement des incidents meurtriers opposant les extrémistes des deux camps à l'intérieur de l'archipel), le RPCR avait emporté la très large majorité des sièges et c’est dans ce contexte que Dick Ukeiwé avait été élu pour occuper le nouveau poste de président du gouvernement.
A partir de cette époque et avec Jacques Lafleur qui était lui-même député, il avait été, à Paris, l’une des deux voix des "loyalistes" néo-calédoniens. Le 24 janvier 1985, il avait prononcé, au Sénat, un discours resté célèbre dans lequel, tout en condamnant la politique du pouvoir socialiste en Nouvelle-Calédonie, il appelait au dialogue avec les indépendantistes. Après les échecs du statut Fabius-Pisani puis du statut Pons, il avait soutenu les accords de Matignon de juin 1988 et avait été cosignataire de l’accord d’Oudinot en août de la même année.
Lors des élections municipales de mars 1989, il avait échoué dans sa tentative de conquête de la mairie de Dumbéa, face au sortant Bernard Marant, en dissidence du RPCR depuis son opposition aux accords de Matignon. En juin de la même année, il n’avait pas été candidat aux élections provinciales qui avaient fait suite à la mise en place des nouvelles institutions mais il s’était fait élire député européen sur la liste UDF-RPR conduite par Valéry Giscard d’Estaing.
Progressivement mis à l’écart du RPCR et s’étant éloigné de Jacques Lafleur, il avait perdu son siège de sénateur à l’occasion des élections sénatoriales de septembre 1992 où les grands électeurs lui avaient préféré Simon Loueckhote, devenu président du congrès du territoire de la Nouvelle-Calédonie au lendemain des élections provinciales de 1989.
Resté député européen jusqu’aux élections européennes de juin 1994, Dick Ukeiwé avait encore été candidat, sans succès, aux élections législatives de 1993 et de 1997, dans la 1ère circonscription de l'archipel (Nouméa), face à Jacques Lafleur. Arrivé en deuxième position lors du premier tour de 1993 avec 16,04 % des suffrages exprimés, son score n’avait été plus que de 4,22 %, toujours au premier tour, quatre ans plus tard.
04.09.2013 par Vincent
Léger regain de popularité pour l'exécutif au mois d'août selon l'Ifop
Le Président de la République, François Hollande, y fait preuve pour le second mois consécutif d’un très léger rebond avec un total satisfaits à 28% (+1 pt) et un total mécontents à 71% (-1 pt). La progression est donc identique à celle enregistrée au mois de juillet et l’éloigne un peu plus de son plus bas niveau atteint durant le mois d’avril avec un total satisfaits à 25% et un total mécontents à 74%.
Dans le détail, ce léger gain de popularité se caractérise par son manque d’homogénéité entre les groupes étudiés :
Par tranche d’âge, il s’observe surtout chez les 25 - 34 ans (total satisfaits à 32%, soit + 9 pts) qui devient ainsi le groupe d’âge le plus favorable au Président alors qu’il était le plus critique au mois de juillet…
Par profession, on constate une nette progression chez les commerçants, artisans et chefs d’entreprise (total satisfaits à 27%, soit +8 pts) et chez les ouvriers (total satisfaits à 25%, soit +7 pts). A l’inverse, on observe un important décrochage chez les professions intermédiaires (total satisfaits à 26%, soit -7 pts).
Concernant la proximité politique, l’étude du mois d’août est marquée par un regain de confiance particulièrement important chez les sympathisants d’EELV (total satisfaits à 55%, soit +17 pts) et chez ceux du MoDem (total satisfaits à 38%, soit +17 pts). A l’inverse les sympathisants de l’UDI sont de moins en moins convaincus (total satisfaits à 8%, soit -11 pts).
La popularité du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, reste inchangée par rapport à la dernière étude publiée et conserve donc un niveau supérieur à celle du Président de la République. Le total satisfaits et le total mécontents restent identiques à respectivement 30% et 64%. Tout juste observe-t-on une légère modification de la structure du total mécontents avec un basculement de 4 pts des très mécontents (22%) vers les plutôt mécontents (42%).
* Etude réalisée par téléphone les 23 et 24 août 2013 auprès de 949 personnes.
L'étude complète est disponible sur le site de l'institut : Ifop
Lire aussi : Evolution de la popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault
04.09.2013 par Zimmer
Gilles Bourdouleix rejoint les non-inscrits à l'Assemblée nationale
Avec l'arrivée du président du CNIP dans leurs rangs, ces derniers sont désormais au nombre de huit. Rappelons que les sept autres députés non-inscrits sont Jacques Bompard (Ligue du Sud), Marion Maréchal-Le Pen (FN), Gilbert Collard (RBM), Véronique Besse (MPF), Nicolas Dupont-Aignan (DLR), Jean Lassalle (Modem) et Sylvie Andrieux (PS).
04.09.2013 par Zimmer
Chantal Dejean remplace Franck Montaugé au conseil général du Gers
Ce dernier, qui est maire d'Auch depuis cinq ans et député (PS) de la 1ère circonscription du Gers depuis le 3 août dernier, à la suite de l'entrée de Philippe Martin, dont il était le suppléant, au gouvernement, a en effet démissionné de son mandat de conseiller général pour se conformer à la législation en vigueur concernant le cumul des mandats.
Issue du mouvement associatif, membre du PS, Chantal Dejean était conseillère générale remplaçante depuis les élections cantonales de mars 2008. Elle est également adjointe au maire d'Auch en charge de la démocratie locale et de la vie des quartiers.
On peut rappeler, à cette occasion, que depuis le 19 juillet dernier, le conseil général du Gers a un nouveau président, en la personne du conseiller général du canton de Nogaro et ancien député socialiste Jean-Pierre Pujol, élu à la suite de la démission de Philippe Martin. Le ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie est, quant à lui, toujours conseiller général du canton de Valence-sur-Baïse.
03.09.2013 par Zimmer
Décès de Jean-Louis Beaumont, ancien député-maire de Saint-Maur-des-Fossés
Fondateur "Des villages dans la ville" en 1976, mouvement voulant préserver "l'esprit village" contre l'urbanisation grandissante de l'époque, il était devenu maire de Saint-Maur-des-Fossés en 1977.
Elu député (divers droite) de la 5ème circonscription du Val-de-Marne (Créteil, Saint-Maur) en mars 1978, il avait perdu son siège lors des élections législatives de juin 1981 face au maire socialiste de Créteil, Laurent Cathala. Il avait fait son retour à l'Assemblée nationale à l'occasion des élections législatives de mars 1993 où il s'était fait élire député de la 1ère circonscription du département (Créteil-Nord) issue du découpage de 1986. Il n'avait pas retrouvé son siège lors des élections législatives de mai-juin 1997, où avec 16,06 % des suffrages exprimés, il n'était arrivé qu'en troisième position et avait été éliminé à l'issue du premier tour. L'UDF Henri Plagnol, qui avait été son suppléant quatre ans plus tôt et qui bénéficiait du soutien de la majorité sortante, l'avait emporté au second tour.
En mars 2008, après 31 ans de mandat de maire, il ne s'était pas représenté aux élections municipales et il avait soutenu son premier adjoint, Jean-Bernard Thonus, qui n'était toutefois pas parvenu à s'imposer face au même Henri Plagnol.
02.09.2013 par Zimmer
Bernard Bros est élu maire de Carbonne (Haute-Garonne)
Cette élection a fait suite au décès, survenu à l'âge de 77 ans le 17 août dernier, de Guy Hellé, maire socialiste de la commune depuis 1977, qui était également président de la Communauté de communes du Volvestre et qui avait exercé les fonctions de président de l'Association des maires de la Haute-Garonne.
Membre lui aussi du PS, Bernard Bros était jusque là premier adjoint au maire de cette commune qui compte actuellement 5 205 habitants.

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